Note de Kamal : Cet article est écrit par mon ami, Olivier Roland, blogueur de Des Livres Pour Changer de Vie, qui s’est lancé dans un défi fou : lire 52 des meilleurs livres de business pendant 52 semaines, et les chroniquer sur son blog. Vous êtes habitué à un contenu de qualité sur SBK, Olivier nous a concocté alors, un article très spécial ! Bonne lecture.
Imaginez-vous dans un immeuble, celui que vous voulez.
Vous y êtes ? OK.
Imaginez-vous en train de vous déplacer librement dedans, de gravir les escaliers et de les descendre, d’entrer dans les pièces, les bureaux, les salles qui vous intéressent, d’en ressortir, de vous promener à votre grès dans les couloirs.
Vous êtes totalement libre de vous mouvoir, vous êtes d’accord avec moi ?
C’est vrai. Mais il y a un détail d’importance : votre liberté d’action, en apparence totale, est délimitée par la structure de l’immeuble : vous ne passez pas au travers des murs, vous n’entrez pas dans une pièce par la fenêtre, vous passez d’un étage à un autre par l’escalier ou l’ascenseur, pas où vous le souhaitez.
Il en est de même de nos vies : la structure de celles-ci délimitent notre liberté d’action, et les chemins que nous allons emprunter pour obtenir les résultats que nous souhaitons : nous pouvons entrer dans un bureau par une fenêtre donnant sur le couloir, mais il y a peu de chances pour que nous le fassions – nous allons entrer par la porte, parce que c’est le chemin demandant le moins d’énergie.
Mais s’il n’y a pas de porte, nous allons à chaque fois y entrer par la fenêtre, parfois sans penser au fait qu’il serait plus simple de percer une porte – cela demanderait beaucoup d’énergie au départ, mais une fois fait tout serait plus facile – tout simplement parce qu’il y a toujours eu une fenêtre et pas de porte, et que cela nous semble parfaitement naturel.
Et nous allons peut-être apprendre des techniques, suivre des cours pour entrer plus vite par la fenêtre, en nous focalisant sur différents aspects : apprendre à ouvrir plus vite la fenêtre, apprendre à sauter plus vite par la fenêtre (en considérant pendant un moment les deux méthodes assez opposées prêchées par deux gourous du saut par la fenêtre, ce qui fait que l’on va stagner pendant un moment car nous allons appliquer des techniques contradictoires issues de ces méthodes, nous allons nous prendre parfois la fenêtre en pleine tête, ce qui va nous décourager pendant un moment, on pourra même abandonner en se disant “pfff, ces méthodes c’est vraiment nul…”), apprendre à faire un effet de style en se réceptionnant (c’est quand mieux avec un peu d’élégance), apprendre à sauter avec des sacs de plus en plus lourds (c’est quand même pratique si vous trimballez des bouquins ou des documents), s’entraîner, jour après jour, en suant sang et haut et en se répétant qu’on peut y arriver, que l’on peut entrer dans ce fichu bureau de manière rapide, élégante et performante, tombant amoureux du processus au point où l’on en vient à considérer le saut par la fenêtre comme un sport, un art ou une science, ou tout cela à la fois.
Maintenant, même si nous devenons champion Olympique du saut-par-la-fenêtre-pour-entrer-dans-le-bureau, si notre objectif reste toujours de rentrer dans notre bureau jour après jour, qu’en est-il de la qualité et de la quantité d’énergie que nous dépensons par rapport à quelqu’un qui a une porte et qui s’en sert tous les jours ?
En quoi cela s’applique à la séduction ? Comparons deux jeunes hommes qui ont les mêmes talents, les mêmes compétences, et la même expérience en séduction, qui partagent le même objectif de vivre une vie riche en rencontres amicales et sexuelles, mais qui n’ont pas vraiment la même structure de vie :
- Jean
- vit chez sa mère qui est en banlieue éloignée de sa ville.
- Il n’a pas de véhicule et en a pour une demi-heure de bus pour aller de chez lui au centre-ville. Il travaille dans un bureau, dans une entreprise où la population masculine est majoritaire, et où les quelques histoires de cul qui se produisent font toujours le tour de la boîte et peuvent nuire à la carrière professionnelle de ceux qui se “compromettent”.
- Sa seule activité régulière en dehors de son travail est son club de boxe, où il voit régulièrement ses amis pour faire vibrer ses testostérones.
- Comme il a fait une école d’ingénieurs avant, il s’est surtout fait des amis, il a peu d’amies. Ces amis sont surtout des geeks – certains en voie de reconversion – qui ont eux-même avant tout des amis plutôt que des amies.
- Il s’astreint à sortir au moins une fois par semaine en boîte, et à faire au moins une session hebdomadaire d’une heure ou deux dans la rue, c’est dans ces occasions qu’il a rencontré presque toutes ces copines (bon ok, il va un peu sur Internet parfois aussi 😉 ).
- Jacques
- a un appartement en plein centre ville, juste à coté de la “rue de la soif” où tous les étudiants sortent le week-end et même la semaine.
- Il a une voiture, ce qui le rend mobile, mais n’hésite pas à prendre les transports en commun quand c’est plus pratique.
- Il est dans une fac littéraire, où la population féminine est majoritaire. Tout le monde a des histoires de cul avec tout le monde, et tout le monde s’en fout.
- Il fait du théâtre d’improvisation et prend des cours de salsa, des activités caractérisées par une population féminine importante.
- Il a un large cercle social composé autant d’hommes que de femmes qui l’invitent régulièrement dans des soirées, parce qu’ils l’apprécient – ses amis lui présentent d’ailleurs toujours de nouvelles connaissances, en le présentant de manière flatteuse.
- Il organise lui-même régulièrement des soirées dans son appartement, ce qui lui permet d’être dans une position de valeur positive naturelle quand il interagit avec les ami(e)s d’ami(e)s qui viennent chez lui.
- Il s’est astreint pendant un moment à sortir régulièrement en boîte et à séduire dans la rue, lorsqu’il a découvert le game et pour apprendre à surmonter sa timidité, mais à présent qu’il a franchit un certain seuil, il fait cela uniquement quand il en a envie, car sa vie l’amène naturellement à faire de nombreuses rencontres.
Rappelez-vous, Jacques et Jean sont tous les deux de bons séducteurs, avec une expérience et des compétences égales. A présent d’après-vous, qui :
- Va faire le plus de rencontres en un mois ?
- Va avoir le meilleur ratio énergie dépensée/nombre de rencontres effectuées ?
- Va pouvoir tirer parti le plus facilement des rencontres qu’il fait ?
- Va donc avoir un ratio énergie dépensée/résultats plus élevé ?
Jacques évidemment. Et pourquoi ? Parce que la structure de sa vie lui amène naturellement et sans efforts de nombreuses opportunités de rencontres dans un contexte favorable, et que cette même structure lui permet de tirer parti beaucoup plus facilement des opportunités qu’il a.
Prenons un exemple simple pour illustrer cela :
Jean et Jacques sortent tous les deux en boîte un vendredi soir. Ils font tous les deux un bon pick-up et embrassent une ravissante étudiante. Jusque là tout va bien, mais c’est là que leur destin diverge :
- Pour amener la fille chez lui, Jean doit la convaincre de faire une demi-heure de bus, puis de ne pas parler trop fort “pour ne pas réveiller maman”.
- Pour ramener la fille chez lui, Jacques lui propose de goûter son cocktail personnel qu’il a concocté chez lui, à 2 minutes d’ici.
D’après vous lequel aura le plus de chance d’amener cette charmante étudiante dans sa chambre ? Évidemment la tentative de Jean n’est pas forcément vouée à l’échec, tout comme celle de Jacques ne va pas forcément être couronnée de succès, mais il est évident que Jean va devoir dépenser beaucoup plus d’énergie que Jacques pour obtenir le même résultat : coucher avec la fille. Pourquoi ? Parce que la structure de la vie de Jean le freine dans son objectif.
Pour bien comprendre cela, examinons une image très parlante donnée par Robert Fritz dans son livre The Path of Least Resistance.
Vous désirez vous améliorer en séduction parce que vous avez un désir qui vous pousse à cela, désir qui peut avoir de multiples formes : désir de sexe, désir de reconnaissance, désir d’acceptation, désir de créer la vie dont vous rêvez, désir de devenir un meilleur vous-même, etc.
Mais votre désir est au départ frustré : c’est pour cela que vous avez ce désir, parce qu’il s’agit de quelque chose que vous n’avez pas actuellement. Et le fait que vous n’avez pas ce que vous désirez peut provenir de nombreuses choses, mais il y a fort à parier que cela vient avant tout de 1) la structure de votre vie et 2) vos croyances limitantes (que je n’aborderai pas dans cet article).
Imaginez à présent que vous teniez au milieu d’une pièce, attaché par deux élastiques se trouvant devant et derrière vous. L’élastique de derrière représente votre structure de vie (et vos croyances limitantes), l’élastique de devant votre désir de réussir.
Désir de réussir Structure de vie
Maintenant, imaginez que vous avanciez vers le mur devant vous, vers votre désir et sa réalisation. Plus vous avancez et plus l’élastique qui se trouve derrière vous exerce sa force, jusqu’à ce que vous ne puissiez plus continuer et que l’élastique vous ramène en arrière.
Désir de réussir Structure de vie
Alors la structure de votre vie et vos croyances limitantes vous ramènent en arrière, et poussé par votre élan vous vous rapprochez du mur arrière, mais alors c’est l’élastique de votre désir qui vous ralentit au fur et à mesure, puis finit par vous tirer à nouveau vers le mur de devant.
Désir de réussir Structure de vie
Si nous désirons atteindre nos objectifs, dans la séduction ou ailleurs et que nous ne comprenons pas l’influence qu’ont nos pensées limitantes et la structure de notre vie sur la réalisation de notre objectif, nous serons prisonnier d’une structure qui nous forcera à osciller sans cesse, à tendre vers un objectif, puis son contraire sans possibilité d’y échapper, car les conflits structurels ne sont pas solutionnables. C’est la structure qu’il faut changer, pas le problème.
Ou disons que vous pourrez peut-être rompre l’élastique en développant une force surhumaine (qui vous enverra peut-être vous écraser contre le mur de votre désir) alors qu’il vous suffit de trouver la bonne paire de ciseau pour couper l’élastique qui vous freine.
Ainsi, sans s’en rendre compte, Jean a une structure de vie qui le freine dans l’accomplissement de son désir de vivre une vie riche en rencontres amicales et sexuelles. Il ne ménage pas ses efforts pour accomplir son désir, mais l’élastique de la structure de sa vie le ramène toujours en arrière, ce qui fait qu’il doit dépenser beaucoup d’énergie pour atteindre ce désir. Au contraire, le désir et la structure de la vie de Jacques travaillent en synergie, ce qui fait qu’il doit dépenser beaucoup moins d’énergie pour satisfaire son désir, et que même sa vie concoure à réaliser son désir presque sans qu’il intervienne.
De plus, comme Jacques fait davantage de rencontres que Jean, il a des chances de progresser beaucoup plus vite que Jean dans sa compréhension des interactions sociales, et évidemment il aura davantage de résultats. Cela ne veut pas dire qu’il soit absolument inutile d’apprendre à sauter par la fenêtre plutôt que de passer par la porte :
Sauter par la fenêtre permet d’exploser notre zone de confort, ce qui fait que passer par la porte nous paraîtra d’une facilité déconcertante, et que par contraste nous pourrons même apprécier le simple fait de passer par une porte (ah, c’est si facile en comparaison de ce que j’ai connu !).
Mais si vous ne pouvez entrer dans votre bureau que par la fenêtre, posez-vous la question : ne pourrai-je pas percer une porte ? Trouver un chemin qui une fois tracé m’emmènera vers mon objectif avec moins d’efforts ?
A présent que vous avez compris l’intérêt de cette vision des choses, comment l’appliquer pour améliorer vos résultats en séduction ?
C’est simple : prenez une feuille de papier, notez en haut “Comment je peux améliorer la structure de ma vie pour mieux séduire” (ou tout autre objectif de vie que vous avez) et notez au minimum 20 idées pour faire cela. Cela peut être des choses comme “commencer des cours de salsa”, “trouver un appartement en colocation en centre-ville”, “me faire 3 amies filles dans le mois afin d’augmenter la mixité de mon cercle social”, etc. Les premières idées vous viendront facilement, puis à partir de 4 ou 5 cela deviendra plus difficile : ne vous arrêtez pas tant que vous n’en avez pas au moins 20.
Puis, laissez reposer vos idées pendant au moins une journée, et lorsque vous y revenez choisissez en trois à appliquer, dans l’ordre : ne vous focalisez que sur un changement à la fois. Quand vous avez mis en place le premier, passez au second, puis au troisième. Cela devrait déjà amener des changements notables dans votre vie.
Vous pourrez ensuite revenir à votre feuille pour choisir trois nouvelles actions à mettre en place – ou refaire l’exercice, puisque ces trois changements auront peut-être tellement chamboulés votre vie que cela aura rendu caducs certaines de vos idées, et vous en aura inspiré d’autres !
Peut-on rencontrer et aimer en restant soi-même ?
Mais avant de faire cela, vous devez prendre en compte tous les objectifs actuels de votre vie – personnels et professionnels – et leur assigner des priorités. En effet, si la structure de votre vie peut vous freiner dans l’accomplissement de vos objectifs en séduction, il ne faut pas tomber dans l’excès inverse et faire en sorte que votre vie ne tourne QUE autour de cela : ce serait un grand frein à terme à votre épanouissement personnel.
Quand vous réfléchissez à votre structure de vie, vous devez prendre en compte tous les objectifs qui comptent pour vous, et faire en sorte au maximum que la structure de votre vie vous aide à les atteindre tous, ou en tout cas la majorité.
C’est pour cela qu’il est important pour vous de recenser les objectifs qui comptent pour vous, et de leur assigner une priorité : prenez une feuille de papier, inscrivez en haut “Mes objectifs de vie” et écrivez-les, puis assignez leur un numéro pour leur déterminer une priorité. Ensuite seulement, vous pouvez faire le premier exercice 😉 .
Comme vous l’avez sans doute compris, cette méthode est universelle et applicable à tous les objectifs importants pour vous. Pour aller plus loin, vous pouvez lire la chronique du livre The Path of Least Resistance qui explique en détail tout cela, et vous donne de nombreux outils pour le généraliser. Si vous arrivez à la maîtriser et à l’appliquer, votre vie ne sera plus jamais la même, croyez-moi 😉
Love,
Olivier Roland
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super article olivier
franchement j’avais jamais pensé a faire cette petite technique qui peut tout changé dans ma vie,maintenant je vais directement l’utiliser…
merci beaucoup olivier:)
Un des meilleurs articles
Big Up (y)
que faudrait il faire comme activiter afin d’ameliorer la structure de vie?
Je confirme : cet article est vraiment très intéressant et très bien rédigé.
Sans doute le meilleur dans la catégorie Lifestyle, selon moi.
Toutes mes félicitations à l’auteur 😉
super l’article je trouve que ces le meilleur que j’ai lus jusqu’a mtn
merci pour cette article bien rediger olivier
C’est MAGNIFIQUE !!
Un Article de qualité !!
« Il suffit de percer une porte pour dépenser moins d’énergie qu’avant ! »
Par contre j’ai une petite question : Jean était dans une école d’ingénieurs et il a un LifeStyle Misérable ?? Alors là, ça craint !!
Lycan
Bon article, je trouve. En ^plus, par ce petit jeu, j’ai pu mettre mes réels envies au clair
Salut,
Très bon article Olivier, toute mes félécitations.
Le concepte est superbe, de plus c’est très bien détaillé!
Merci pour vos commentaires.
Thibault
, mon article te donne des pistes d’activités qui te permettrait de structurer ta vie afin de maximiser tes efforts en séduction : salsa, théâtre d’impro, organisation de fêtes, etc. Je te recommande de réfléchir par toi même avec la technique que je donne à la fin de l’article 😉 .
Lycan, les exemples de Jacques et Jean sont délibérément caricaturaux, afin d’illustrer de manière plus frappante la différence de leurs structures de vie 😉 .
Oui, et c’était un bon exemple !
On attend vos prochains Articles ! 🙂
super article mon ami. je crois que le message est trasmis à tous les lecteurs 😉 et je suis sûr que ça va aider beaucoup d’entre eux…
Trés interessent
Salut Kamal
je constate que ma vie est vraiment pourri et ennuyeux ! sans travail « rien » comment pourait-je séduire une femme en vivant anssi les mêmes « routine/ répétitif » ?
MAINTENANT grand changement en cour…
si tu as un conseil à me donner , je suis preneur
ton amis,Damien
déjà bravo pour l’auteur, bel article.
Pour moi, ce genre de sujet me fascine beaucoup ( pnl, comment atteindre vos objectifs ? et autres) et ça tombe à pique parce que j’ai lu plein de trucs de ce genre et plus j’en lis plus ça me donne envie d’en pratiquer.
Merci SBK
Cet article est ludique et bien traité. Il est difficile de ne pas être en accord avec les propos d’Olivier Roland! Une question me paraît toutefois primordiale à soulever: quelles sont les raisons qui font que jean ne peut s’épanouir aussi aisément que Jacques. Pourquoi Jean à t-il une structure de vie qui l’amène à avoir moins d’opportunité que Jacques. Le fait est que Jean vis chez papa, maman, qu’il habite loin etc. Il est tout aussi important se demander simplement pourquoi, Jean vis chez papa, maman et tout le toutime… Il s’agit malheureusement du contexte social dans lequel nous vivons. Si Jacques le pouvais, il irait surement vivre ailleurs, mais le contexte social ne le lui permet pas (ou alors s’il le peut, je me demande bien ce qu’il fabrique encore, il est temps qu’il se bouge!). Jacques est pris en exemple, mais encore; il a du travail, des activités. Prennez un autre exemple, avec un gars qui cherche du boulot, n’en trouve pas, passe des entretiens tous les 36 du mois, n’a pas d’appartement et pas assez d’argent pour se loger, et oui ce jeune homme va avoir plus de mal à « chopper » pour toutes ces raisons qu’il n’aura pas choisi. J’admet toutefois qu’il peut améliorer l’image qu’il projète de soit en suivant vos conseil, mais cette personne n’a pas choisi la situation dans laquelle elle se trouve. Ce n’est malheureusement pas parce qu’il voudra devenir comme Jacques (s’il en à envie) qu’il aura les moyens de le devenir! Suis-je clair? La société fait que (et cela ne va pas en s’améliorant), ce n’est pas toujours parce que l’on décide de devenir quelqu’un que l’on souhaiterai être, qu’on le devient. Mon exemple est peut-être un peut extrême mais il peut se vérifier dans d’autres cas. Je ne tient pas à plomber votre enthousiasme sur votre capacité à surmonter des difficultés, mais simplement à clarifier une situation. Ces remarques ne faisaient toutefois peut-être pas l’objet de votre ouvrage et je suis bien d’accord que la structure de vie ( liée au contexte social) donne plus sa chance à certaines personnes qu’à d’autres. Il faut toutefois continuer de se battre pour améliorer ses conditions sociales, donc sa structure de vie, donc l’image que l’on projète! Moralité: vous avez bien raison, continuons à nous battre pour améliorer notre vie qui s’inscrit forcément dans la société d’aujourd’hui, et casser les barrières qui vous en empêche!
Cet article est ludique et bien traité. Il est difficile de ne pas être en accord avec les propos d’Olivier Roland! Une question me paraît toutefois primordiale à soulever: quelles sont les raisons qui font que jean ne peut s’épanouir aussi aisément que Jacques. Pourquoi Jean à t-il une structure de vie qui l’amène à avoir moins d’opportunité que Jacques. Le fait est que Jean vis chez papa, maman, qu’il habite loin etc. Il est tout aussi important se demander simplement pourquoi, Jean vis chez papa, maman et tout le toutime… Il s’agit malheureusement du contexte social dans lequel nous vivons. Si Jacques le pouvais, il irait surement vivre ailleurs, mais le contexte social ne le lui permet pas (ou alors s’il le peut, je me demande bien ce qu’il fabrique encore, il est temps qu’il se bouge!). Jacques est pris en exemple, mais encore; il a du travail, des activités. Prennez un autre exemple, avec un gars qui cherche du boulot, n’en trouve pas, passe des entretiens tous les 36 du mois, n’a pas d’appartement et pas assez d’argent pour se loger, et oui ce jeune homme va avoir plus de mal à « chopper » pour toutes ces raisons qu’il n’aura pas choisi. J’admet toutefois qu’il peut améliorer l’image qu’il projète de soit en suivant vos conseil, mais cette personne n’a pas choisi la situation dans laquelle elle se trouve. Ce n’est malheureusement pas parce qu’il voudra devenir comme Jacques (s’il en à envie) qu’il aura les moyens de le devenir! Suis-je clair? La société fait que (et cela ne va pas en s’améliorant), ce n’est pas toujours parce que l’on décide de devenir quelqu’un que l’on souhaiterai être, qu’on le devient. Mon exemple est peut-être un peut extrême mais il peut se vérifier dans d’autres cas. Je ne tient pas à plomber votre enthousiasme sur votre capacité à surmonter des difficultés, mais simplement à clarifier une situation. Ces remarques ne faisaient toutefois peut-être pas l’objet de votre ouvrage et je suis bien d’accord que la structure de vie ( liée au contexte social) donne plus sa chance à certaines personnes qu’à d’autres. Il faut toutefois continuer de se battre pour améliorer ses conditions sociales, donc sa structure de vie, donc l’image que l’on projète! Moralité: vous avez bien raison, continuons à nous battre pour améliorer notre vie qui s’inscrit forcément dans la société d’aujourd’hui, et casser les barrières qui vous en empêche!
merde pour l instant je me rapproche plus de jeant que de jacque…vite une feuille et un stylo…
Merci pour l’article
certaines choses ne peuvent etre explique que par des contraintes (patrimoine economique,et social ) jean a peut etre des une famille qui a peur de le laisser partir ( comme la mienne :P) et qui trouve que c plus avantageux de rester dans le cadre familial